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Les routes concernées
Les mesures proposées ci-après, sont appliquées aux routes très fréquentées par les cyclistes mais sur lesquelles aucun aménagement n'est envisageable :
Il est important que ce principe demeure appliqué aux routes très fréquentées par les cyclistes, car sa multiplication irréfléchie pourrait donner à croire aux automobilistes que les cyclistes ne sont admis que sur les « voies partagées ».
Signaler la présence fréquente de cyclistes Le panneau C50 « partageons la route », implanté après chaque intersection, signale la présence de cycliste sur l'itinéraire et incite tous les véhicules, les cyclistes comme les autres usagers, à adopter un comportement respectueux envers les autres véhicules. Réduire les vitesses Lorsque l'espace n'est pas suffisant pour affecter une voie à la circulation des cycles, la modération de la vitesses reste la seule mesure qui rend possible l'amélioration de la sécurité des cyclistes. |
Deux mesures peuvent être adoptées :
Le concept de la voie partagée s'appuie sur le postulat que « la sécurité peut naître d'une reconnaissance mutuelle entre les usagers de la route » (club d'échange d'expériences sur les routes départementales) et cela dès lors que le trafic est faible (inférieur à 1000 / 1500 véh/j) et que la vitesse des véhicules est raisonnable (inférieure à 70 km/h). Convaincu par ce principe, le département des Bouches du Rhône a mis en uvre une signalisation spécifique (panneau de catégorie C) : « partageons la route ». Ce panneau est utilisé comme élément complémentaire et pédagogique à une limitation de vitesse. Ainsi toutes les routes à caractère touristique d'un niveau de trafic inférieur à 1000 véh/j et le plus souvent fréquentées par les cyclistes sont concernées par cette mesure. |
(Extraits de la Charte départementale des aménagements des Pyrénées-Atlantiques)
Dernière mise à jour le 10 mai 2009 Webmestre : pau@fubicy.org